15 49.0138 8.38624 1 0 4000 1 https://somiio.fr 10000 0

En scooter dans Ubud

1 commentaire

Hier soir, je m’étais un peu dit « plus jamais de scooter (à Ubud) ». Et puis ce matin, quand j’ai vu où se trouvaient les différents musées que je voulais faire, je me suis dit que ça allait soit me prendre un temps et une énergie folle à pied, soit que ça allait me coûter une blinde en taxi.

Donc scooter. Sauf que ce coup-ci, je l’ai loué en bas des marches, merci bien.

Premier arrêt au Neka Museum. Ce mécène balinais a réuni des œuvres d’artistes balinais et internationaux. Ce sont plutôt des œuvres contemporaines ou du XXe siècle. Musée intéressant qui offre notamment de bonnes explications sur l’évolution des styles et des écoles de l’art balinais. Parfois un goût tout pourri (à mon avis hein) dans ses achats d’artistes non balinais notamment.

Ensuite, j’ai fait un arrêt pour déjeuner d’un babi guling : plat à base de porc rôti (pas courant déjà) et de toutes les parties du porc (donc la peau en sorte de chips croustillantes). Franchement, ça ne cassait pas trois pattes à un canard, pardon, 5 pattes à un cochon. Je pense qu’il y a de meilleurs endroit que le warung Ibu Okan pour déguster cette spécialité.

Bref, j’ai continué en allant à l’Agung Rai Museum of Art ou Arma. Ce musée est un véritable centre des arts balinais. Le musée en lui même est très beau. Les bâtiments, les jardins, les rizières autours… À voir ! Ensuite, j’ai trouvé les collections (encore une fois beaucoup de contemporain mais aussi des œuvres beaucoup plus anciennes) plus belles et plus pertinentes. J’ai aussi découvert plus en détail la vie étonnante et de Walter Spie. Un homme qui savait tirer le meilleur du pire !

En plus, suivant les recommandations du Lonely Planet, je m’y suis rendu entre 15h et 17h. Ça m’a permis d’assister aux cours de danse balinaise donnés dans l’enceinte du musée aux enfants. Par ailleurs, j’ai aussi pu observer le travail des sculpteurs sur bois en train de sculpter de portes. Une travail qui me paraissait fou mais un des sculpteurs m’a assuré (à plusieurs reprises, en anglais et en indonésien) qu’il ne leur fallait qu’une heure pour faire une porte (plus la deuxième et l’encadrement donc pour que cela soit un bloc porte complet).

Pour terminer la visite, j’ai eu le droit à mon thé dans le superbe café vue sur la rizière compris dans le billet. Au top !

J’ai ensuite fait un dernier tour de shopping et réservé mon taxi pour demain avant de rentrer juste avant la nuit à mon hôtel.

Demain donc, c’est le dernier jour. Je vais m’offrir un dernier massage et ensuite en route pour l’aéroport. Made, l’adorable femme de Karja, m’a dit que je pouvais rester jusqu’à l’heure de mon taxi à 14h30. Ça m’arrange bien !

Je décolle à 18h30 de Denpasar et serait en France mercredi matin. Jusqu’ici tout va bien !

Article précédent
En scooter autour d’Ubud
Article suivant
Retour en France

1 commentaire

  • 3 septembre 2012 à 18:49

    C’est dommage que tu partes…. tu commences à connaître la ville d’Ubud !!
    A très bientôt donc… et bon voyage !
    On a un peu voyagé avec toi, surtout à Rouen où nous avons visité par photos et narration l’Indonésie vécue par 4 français en Juillet !

    Répondre

Répondre

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.