Oui mais non
Les librairies ont toujours été pour moi un mélange de plaisir à me retrouver au milieu de milliers de livres et de frustration intense de ne pouvoir acheter et ramener chez moi tous ces bouquins (d’abord c’est cher, même si un copain a trouvé la solution… et parce que ça prends trop de place).
Une autre tentation a toujours été les petits carnets. Les carnet à dessin, à prendre des notes, etc. Les « Moleskines » notamment m’ont toujours attirée avec leur beau papier crème, la couverture en cuir (ou qui en a l’air en tout cas) et surtout la « mythologie » autour de ce carnet qui aurait été utilisé par une sacré brochette d’écrivains et d’artistes… Je me voyais crayonner des chef-d’oeuvre, déposer mes pensées secrètes, débuter mon premier roman.
Et puis non. Un article que je viens de lire m’a coupée toute envie de ces petits carnets : Le « Moleskine d’Hemingway » ou la magie du marketing.
On se pense toujours plus ou moins immunisé au marketing… et puis on s’aperçoit que non !
3 commentaires
J’utilise les Moleskine depuis 10-15 ans sans même connaitre cette histoire d’hemingway and cie ; j’ai essayé des tonnes de carnets et franchement, ce sont les mieux, ils peuvent rester des semaines dans un sac sans s’abimer. Chers mais ça vaut le coup !
Oui, enfin si on en a vraiment l’utilité OK… mais je pense qu’il y en a d’autres aussi fait 😉
c’est limite de la publicité mensongère !
Le seul hic c’est que ces carnets sont vraiments ben pensés (dernières pages détachables, rabat pour glisser des cartes de visites, élastique pour tenir le tout)
Moi j’utilise la version « mini » une dizaine de pages avec une couverture en carton. le papier est totu aussi beau mais c’est plus léger et moins cher !